Saturday 11 January 2014

7b. MacLean et al (2012) How does cognition evolve?

MacLean, E.L., Matthews, L.J., Hare, B.A., Nunn, C.L., Anderson, R.C., Aureli, F., Brannon, E.M., Call, J., Drea, C.M., Emery, N.J. and Haun, D.B. (2012) How does cognition evolve? Phylogenetic comparative psychology. Animal cognition, 15(2): 223-238.






Evolutionary Psychology (EP) views the human mind as organized into many modules, each underpinned by psychological adaptations designed to solve problems faced by our Pleistocene ancestors. We argue that the key tenets of the established EP paradigm require modification in the light of recent findings from a number of disciplines, including human genetics, evolutionary biology, cognitive neuroscience, developmental psychology, and paleoecology. For instance, many human genes have been subject to recent selective sweeps; humans play an active, constructive role in co-directing their own development and evolution; and experimental evidence often favours a general process, rather than a modular account, of cognition. A redefined EP could use the theoretical insights of modern evolutionary biology as a rich source of hypotheses concerning the human mind, and could exploit novel methods from a variety of adjacent research fields.

3 comments:

  1. La grosseur du cerveau humain est une question intéressante du point de vue de l’approche « évolutionniste » : la grosseur du cerveau humain est certainement une difficulté à gérer du point de vue de la survie (accouchement, développement sur plusieurs années sans autonomie, utilisation d’énergie (jusqu’à 20% de l’énergie totale d’un corps au repos)). Il faut donc que cette grosseur excessive ait toujours assuré durant tout le temps qu’elle a mis à se réaliser un avantage du point de vue de la survie de l’espèce humaine.
    On souligne que l’hypothèse d’une préférence du choix de partenaire basée sur la compétence linguistique (associée à un plus gros cerveau) est « ridicule », comme si les femelles humaines avaient vu dans une « grosse tête » l’équivalent du « gros panache » d’un paon.
    Mais, au-delà de la compétence linguistique, et bien avant son apparition, un plus gros cerveau a pu fournir un avantage si le « surplus » de neurones servait à « adapter » des « adaptations génétiques » pour les optimiser dans un environnement différent de l’environnement original dans lequel elles avaient été sélectionnées. Les organismes ayant cette adaptation d’un cerveau plus flexible pourraient certainement augmenter leur chance de survie, même avec un bagage génétique qui ne correspond plus idéalement à l’environnement courant, ceci indépendamment de l’attirance des femelles de l’espèce pour les « grosses têtes » de la tribu.
    En fait, plus le cerveau a grossi moins le bagage génétique aurait pu avoir une influence sur la survie, étant constamment court-circuité par le cerveau en constant apprentissage face à l’environnement.
    Ceci pourrait expliquer certains succès explicatifs de la psychologie évolutive : on traîne effectivement de vieilles adaptations génétiques (comme la peur des serpents et des araignées) parce que les capacités adaptatives du cerveau à l’environnement courant empêchent ces traits de devenir « mortels ». Ces traits caducs auraient dû être éliminés, mais l’évolution a trouvé dans la plasticité du cerveau un moyen d’accélérer son rythme.

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  2. On propose dans ce texte un modèle permettant la comparaisons d’ échantillons statistiques par rapport aux observations par rapport à la cognition chez les animaux.Les études permettent de determiner les capacités cognitives chez differentes espèces sont souvent dificilement comparable,dû à differentes méthodologie.Ce modèle formel,minimal permettras, une comparaison entre différrents échantillons(souvent très large),qui permettras une comparaisons entre les differentes capacités cognitives des differentes éspèces.Elle permetras aussi une comparaison entre les données d’animaux existant actuellement et des éspèces instinctes.Donc la methode permetras de dégagé differentes tendances dans les comparaisons entre les differentes espèces,cela permettra de clarifié les processus évolutifs de la cognition.

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  3. Ce texte démonte les statistiques de recherches sur les espèces d'animaux existants, éteints et ceux qui apparaissent dans le but de comparer les données pour voir les changement qu'il y a eu dans les abilités cognitives. Il détermine que certains changements étaient exentiels pour vivre dans un groupe social plus complexe. Cependant, ces recherches n'ont pas pu être concluantes puisques les méthodes entre groupes d'espèces similaires sont différentes.De plus, il n'a pas de conclusion expliquant certaines observations ni d'entente entre les scientifiques.

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